Les vitrages résistant aux chocs ont en effet de sécurisation contre l’effraction et le cambriolage : Par rapport aux vitrages „normaux“ simples, ils sont repartis en classes de sécurité. Les vitrages résistant aux chocs font partie de la classe A.
Celle-ci est de son côté divisée en différentes catégories qui dépendent de la hauteur de laquelle une boule de métal de 4,11 kg avec un diamètre de 10 cm tombe sur une surface en verre de 110 x 90cm pendant un test et de la résistance ou de la réaction de ce verre face à la violence de la boule.
La catégorie A1 signifie une résistance faible comme la boule ne tombe sur le verre seulement que d’une hauteur de 3,5 mètres. La catégorie A2 est plus performante – elle résiste à une chute de 6,5 mètres. La chute de 9,5 mètres définie la catégorie A3.
En résumé, les vitres sont toutes résistibles aux chocs – plus ou moins violents. L’effet de protection est mesuré d’après ces trois catégories. Selon la région et le domaine, on attend plus ou moins de résistance aux chocs.
Le vitrage résistant aux chocs a comme effet que la violence extérieure ne brise pas le verre, mais que celui-ci reste collé au film plastique qui est relié à lui. Il n’y a seulement une toile de fissures typiques pour le verre qui se produit.

Les magasins avec de grandes vitrines, les complexes de bureaux et d’autres bâtiments officiels pertinent pour la sécurité, comme les banques et les musées, nécessitent des vitrages avec des valeurs A3 afin de réduire le risque d’effraction, de cambriolage, de vol et bien plus.
La catégorie A2 est conseillée pour les bâtiments publics comme pour les maisons individuelles nécessitant une sécurité importante. Les risques de blessures sont réduits au minimum et l’effraction est toujours encore suffisamment bloquée.
Pour les habitations privées qui ont besoin de plus de sécurité, la classe A1 est recommandée. Le verre résiste aux violences produites par hasard, comme aux chutes et reste dans le cadre en empêchant des blessures sévères.